Créée en 2015, l'association La Mélodie du Bambou est régie par la loi du 1er juillet 1901.

NOTRE BUT

Promouvoir et enseigner le Daoyin Yangsheng Gong - Yangsheng Taiji (art traditionnel chinois de santé). Par son action, l’association permet à toute personne, quel que soit son âge et sa condition physique, d'entretenir sa santé selon le précepte « bien respirer, bien bouger, bien manger ».

conseil d'administration

- Marylène AUBIN
- Roselyne PICCA-BENEDETTI (secrétaire)
- Rémy REGINE (président)
- Véronique REGINE
- Yves ROPARS (trésorier)
- Alexandra VACCA
- Guillaume VENTURA


la genèse du nom "LA MÉLODIE DU BAMBOU"

Il faut chercher l'origine du nom "La Mélodie du Bambou" dans le discours sur la vertu prononcé par François CHENG à l'Académie française, le 29 novembre 2007.

" [...] Les plantes les plus célébrées sont au nombre de quatre : le bambou, l’orchidée, le prunus, le lotus. On les baptise du beau nom de « Quatre êtres supérieurs » ou de « Quatre Excellences ».

Commençons par le bambou, dont la tige élancée et les feuilles acérées sont proches des traits de la calligraphie ; il est devenu une figure emblématique du meilleur esprit chinois. Les sens symboliques qu’il suscite sont multiples. Quels sont-ils ? D’abord la droiture et l’élévation, à l’image de cette plante qui s’élance tout droit comme d’un jet. Ensuite, la jeunesse et la fraîcheur d’esprit, car le bambou –  pareil en cela à mes confrères de l’Académie – demeure toujours vert. Puis, l’idée d’un perpétuel dépassement de soi. En effet, en sa croissance, le bambou ne pousse pas sur une simple ligne continue ; il est formé d’une succession de sections, comme autant d’étapes de vie, ou autant de sauts qualitatifs par lesquels il cherche à se dépasser. Une autre vertu encore suggérée par un aspect spécifique du bambou : l’intérieur de celui-ci est creux, plus exactement, il est vide. Avoir le cœur vide se dit en chinois xu-xin. Cette expression n’est nullement péjorative. Car « avoir le cœur vide » signifie « avoir le 


cœur habité par la vacuité », c’est-à-dire un cœur ou un esprit dénué de vanité et de suffisance. La vertu en question, donc, n’est autre que l’humilité. A-t-on épuisé là les vertus incarnées par le bambou ? Un dernier point mérite d’être signalé. On sait que la tige de bambou porte en son extrémité de longues feuilles fines et mobiles. Lorsque passe une brise, elles produisent des sons susurrants et mélodieux. Poètes et peintres aiment à demeurer assis au milieu de bambous, à laisser leurs méditations bercées par cette musique intime. Le sommet du bambou rayonne ainsi d’une qualité suprême : la grâce du recueillement et du chant. [...] "

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